Voila un an que je n'ai pas pêcher sur le Guiers. Un de mes voyages ma conduit cette semaine dans les gorges du Guiers. Je n'ai pas hésiter une seconde a mettre le réveille à 5h00 pour être au bord de l'eau des la lever du jour, sachant qu'a 8hoo, je devais reprendre la route.
Pendant la nuit j'avais préparer ma pêche : Passer au garage prendre canne, waders, gilet, épuisette. Avant cela prévoir une tenu pêche et une pour le travail. Ne pas oublier les appâts, m'en reste t-il? Je verrai demain car il est 23h et tous les magasins son fermés.
5 heure zéro zéro sonne!
Hop débout, dans le silence je traverse l'appartement, Boum!!! le petit orteil qui frappe le pied de la table basse, imaginer cette douleur que je ne peux exprimer, car ici tout le monde dors profondément...
Maintenant je suis bien réveillé!
Mes affaire sous le bras, je passe au garage et prend la route pour le Guiers.
J'arrive sur place, le jour pointe son nez.
13°C pas de vent, une eau claire, tout semble bien pour pêcher un peut plus d'une heure.
Je construits un bon bas de ligne avec les quelques centimètre de fluoro qu'il me reste, il faut que je rende visite à mon fournisseur Hydrobraco pour qu'il me commande mon fil spécial en Angleterre, je crois. Quelques plombs un N°7 comme plombs de touche, un N°6, un N°6, un N°5, un N°4, et voila qu'un hameçon de 12 avec teigne qui complète mon bas de ligne.
C'est parti!
Après vingt bonnes minutes à peignier l'eau, rien, je viens de changer complétement mon bas de ligne pour un N°6 comme plombs de touche, un N°6, un N°5, un N°4, un N°4.
Encore rien!
Je reste persuader que les poissons son là.
Aucune touche, rien de rien, même pas un vairon, une bricole qui titille!
Je change encore d'appât pour mettre de nouveau des appâts lourd. Rien !
Je ne comprend pas, car je suis persuader qu'il y a au moins un ou deux beaux poisson sous l'eau.
Je m'accroche peux au fond de la rivière. il faut dire qu'il y a ici 2 m en début de coulé puis presque trois sur la zone que je souhaite pêcher.
J’accroche un galet du Guiers avec mon hameçon et mon fil en guise de sonde car je veux avoir une meilleur vision su fond de la rivière.
Je trouve deux blocs de rocher et je pense trouver derrière eux du poisson.
Je change mon bas de ligne par plus lourds pour descendre au fond, mais avec plus d'espace entre mes plombs pour gagniez en souplesse et animation sur mon appât.
Résultat :
un N°4 comme plombs de touche, un N°4, un N°3, un N°3, un N°1, un N°1, étalé sur 45 cm.
Premier passage dans la bonne veine d'eau, pendu une truite de 40 cm.
Magnifique truite fario du Guiers
Immédiatement dans la dérive suivante, un ombre de 42 cm.
Pendant cette dernière demi-heure, j’attrape au même endroit au total 7 poissons.
Tous en 35 et 42 pour le plus gros (photo ci-dessous).
la pêche aux appâts naturels réserve de très belles sorties...
Pendant la nuit j'avais préparer ma pêche : Passer au garage prendre canne, waders, gilet, épuisette. Avant cela prévoir une tenu pêche et une pour le travail. Ne pas oublier les appâts, m'en reste t-il? Je verrai demain car il est 23h et tous les magasins son fermés.
5 heure zéro zéro sonne!
Hop débout, dans le silence je traverse l'appartement, Boum!!! le petit orteil qui frappe le pied de la table basse, imaginer cette douleur que je ne peux exprimer, car ici tout le monde dors profondément...
Maintenant je suis bien réveillé!
Mes affaire sous le bras, je passe au garage et prend la route pour le Guiers.
J'arrive sur place, le jour pointe son nez.
13°C pas de vent, une eau claire, tout semble bien pour pêcher un peut plus d'une heure.
Je construits un bon bas de ligne avec les quelques centimètre de fluoro qu'il me reste, il faut que je rende visite à mon fournisseur Hydrobraco pour qu'il me commande mon fil spécial en Angleterre, je crois. Quelques plombs un N°7 comme plombs de touche, un N°6, un N°6, un N°5, un N°4, et voila qu'un hameçon de 12 avec teigne qui complète mon bas de ligne.
C'est parti!
Après vingt bonnes minutes à peignier l'eau, rien, je viens de changer complétement mon bas de ligne pour un N°6 comme plombs de touche, un N°6, un N°5, un N°4, un N°4.
Encore rien!
Je reste persuader que les poissons son là.
Aucune touche, rien de rien, même pas un vairon, une bricole qui titille!
Je change encore d'appât pour mettre de nouveau des appâts lourd. Rien !
Je ne comprend pas, car je suis persuader qu'il y a au moins un ou deux beaux poisson sous l'eau.
Je m'accroche peux au fond de la rivière. il faut dire qu'il y a ici 2 m en début de coulé puis presque trois sur la zone que je souhaite pêcher.
J’accroche un galet du Guiers avec mon hameçon et mon fil en guise de sonde car je veux avoir une meilleur vision su fond de la rivière.
Je trouve deux blocs de rocher et je pense trouver derrière eux du poisson.
Je change mon bas de ligne par plus lourds pour descendre au fond, mais avec plus d'espace entre mes plombs pour gagniez en souplesse et animation sur mon appât.
Résultat :
un N°4 comme plombs de touche, un N°4, un N°3, un N°3, un N°1, un N°1, étalé sur 45 cm.
Premier passage dans la bonne veine d'eau, pendu une truite de 40 cm.
Magnifique truite fario du Guiers
Immédiatement dans la dérive suivante, un ombre de 42 cm.
Pendant cette dernière demi-heure, j’attrape au même endroit au total 7 poissons.
Tous en 35 et 42 pour le plus gros (photo ci-dessous).
la pêche aux appâts naturels réserve de très belles sorties...